Tekster: Barbara. Ils étaient Cinq.
Ils etaient cinq.
C'etaient des hommes.
Tous les cinq sentaient le tabac,
Meme celui qui ne fumait pas.
Le premier a bien tente
De me dire d'ou il venait
Et ou il voulait aller.
Il voulait que je l'ecoute.
Faut croire qu'il avait, sans doute,
Des choses a me raconter
Mais moi, mais moi,
Je ne l'ai pas laisse parler,
Je ne l'ai pas laisse parler,
Je ne l'ai pas laisse parler.
Je lui ai mordu la levre.
Il m'a rendu mon baiser.
Ils etaient cinq.
C'etaient des hommes.
Tous le cinq sentaient le whisky,
Meme celui qui ne buvait pas.
Le second a bien tente
De me parler de sa mere,
De pleurer sur son passe.
Il a verse quelques larmes.
Il avait le gout du drame et ne pouvait oublier
Mais moi, mais moi,
Je ne l'ai pas laisse pleurer,
Je ne l'ai pas laisse pleurer,
Je ne l'ai pas laisse pleurer.
J'ai touche ses cicatrices
Et il m'a deshabillee.
Ils etaient cinq.
C'etaient des hommes.
Tous les cinq m'ont parle d'amour,
Meme celui qui n'aimait pas.
Le troisieme, le quatrieme
Ont tente de m'emmener.
Ils revaient a une epouse
Ils m'avaient imaginee
Au coin de la cheminee
Comme un grillon du foyer
Mais moi, mais moi
Je ne les ai pas laisse rever,
Je ne les ai pas laisse rever,
Je ne les ai pas laisse rever.
Le cinquieme, le gentleman,
Ne m'a rien dit, pas un mot.
Ils etaient cinq.
C'etaient des hommes.
Tous les cinq sentaient l'?illet
Lorsqu'ils sortaient de mon lit,
Lorsqu'ils sortaient de mes bras.
Ils etaient cinq et puis voila.
Ils etaient cinq et puis voila
C'etaient des hommes.
Tous les cinq sentaient le tabac,
Meme celui qui ne fumait pas.
Le premier a bien tente
De me dire d'ou il venait
Et ou il voulait aller.
Il voulait que je l'ecoute.
Faut croire qu'il avait, sans doute,
Des choses a me raconter
Mais moi, mais moi,
Je ne l'ai pas laisse parler,
Je ne l'ai pas laisse parler,
Je ne l'ai pas laisse parler.
Je lui ai mordu la levre.
Il m'a rendu mon baiser.
Ils etaient cinq.
C'etaient des hommes.
Tous le cinq sentaient le whisky,
Meme celui qui ne buvait pas.
Le second a bien tente
De me parler de sa mere,
De pleurer sur son passe.
Il a verse quelques larmes.
Il avait le gout du drame et ne pouvait oublier
Mais moi, mais moi,
Je ne l'ai pas laisse pleurer,
Je ne l'ai pas laisse pleurer,
Je ne l'ai pas laisse pleurer.
J'ai touche ses cicatrices
Et il m'a deshabillee.
Ils etaient cinq.
C'etaient des hommes.
Tous les cinq m'ont parle d'amour,
Meme celui qui n'aimait pas.
Le troisieme, le quatrieme
Ont tente de m'emmener.
Ils revaient a une epouse
Ils m'avaient imaginee
Au coin de la cheminee
Comme un grillon du foyer
Mais moi, mais moi
Je ne les ai pas laisse rever,
Je ne les ai pas laisse rever,
Je ne les ai pas laisse rever.
Le cinquieme, le gentleman,
Ne m'a rien dit, pas un mot.
Ils etaient cinq.
C'etaient des hommes.
Tous les cinq sentaient l'?illet
Lorsqu'ils sortaient de mon lit,
Lorsqu'ils sortaient de mes bras.
Ils etaient cinq et puis voila.
Ils etaient cinq et puis voila
Barbara
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