Tekster: Def Bond. Qui Sait Au Fond.
Ils aimaient jouer dans ce grand parc, les dimanches
Frere et soeur, soeur et frere, ils faisaient plaisir a voir
Aux yeux d'une famille heureuse, les gens jalousent et envient
Par les trous dans les haies des buissons, les deux gosses eux en rient
Ne manquent de rien, pour grandir en enfance beton
Enfants trop jeunes pour mesurer leur chance, disait-on
L'aine venait a peine de souffler les bougies de ses 10 ans
16h30, la cloche sonne, tous sortent en criant, c'est les vacances !
Stoppes dans leur elan devant l'ecole
Des parapluies, mais plus de parents au bout ne jouent le role
La pluie signe l'accident, le vent les emporte
Alors les memes gens envient moins la malchance chez les autres
Pas d'autres proches, trop tot separes, alors quoi faire ?
Reagir puis se resigner, loin de son frere sans nouvelles
Partir pour partir ou, retourner au foyer ? Non pense-t-elle
J'aurais pu mourir de chagrin, mais je pleure d'assurance
Plein de pitie on trouvera bien dans mon malheur de la chance
C'est complexe, maintenant lui le sait
Plie dans son lit, la couverture trop fine, bourre de consignes
Couche sur son epaule, tatouee de fer de ceinture
Sur qu'avant 18 ans, il s'enfuira comme il le jure
Sans un adieu, courant libre comme un enfant un dimanche
Heureux, mais qui a trop vecu pour parler de chance
Refrain
Comme les mots de mes fins de phrases en precedent d'autres
Les situations s'enchainent les unes apres les autres
Les joies, les peines, amenent du bien ou menent au fond
Chance, malchance, qui sait au fond ?
Il ne pensait qu'a la revoir, comme elle avait grandie
Il la retrouve allongee 8 ans apres, si affaiblie
"Chez moi, j'avais ce qu'il fallait, faux parents, argent
Dehors j'ai mal frequente, drogue dure j'ai echoue"
Je m'en fous de tout ca, je te sors de la, je veux plus de ton absence
Les medecins diront : "cette fois beaucoup de chance"
Tout ca, c'est fini, elle vit chez lui sans luxe dans son amour
Sa soeur c'est ses yeux, sa fiancee n'est pas pour
Ses problemes de couple, il n'y prete guere attention
Elle veut partir ? Il a connu pire separation
Il ne la retient presque pas, regrette quand il y pense
N'aurait-elle pas pu me laisser ne serait ce qu'une chance
Sa soeur le console, l'accumulation le rend depressif
Mal dans sa peau, trop souvent impulsif
C'est a son tour de lui venir en aide, ce qu'elle fait
Elle seule peut savoir, peut comprendre, sans besoin de parler
Si ca va mieux, c'est qu'elle a du donner de sa presence
Les rebondissement l'empecheront de parler de chance
Aujourd'hui, rien n'a change, demain tout peut changer
Ils sont maries, elle a des enfants, lui ne sait pas encore
Quand ils se voient chaque dimanche et que les enfants s'amusent
Le grand parc semble vouloir faire des excuses
En silence ils pensent, des joies aux peines, d'en haut au fond
Chance malchance, qui sait au fond ?
Refrain
Frere et soeur, soeur et frere, ils faisaient plaisir a voir
Aux yeux d'une famille heureuse, les gens jalousent et envient
Par les trous dans les haies des buissons, les deux gosses eux en rient
Ne manquent de rien, pour grandir en enfance beton
Enfants trop jeunes pour mesurer leur chance, disait-on
L'aine venait a peine de souffler les bougies de ses 10 ans
16h30, la cloche sonne, tous sortent en criant, c'est les vacances !
Stoppes dans leur elan devant l'ecole
Des parapluies, mais plus de parents au bout ne jouent le role
La pluie signe l'accident, le vent les emporte
Alors les memes gens envient moins la malchance chez les autres
Pas d'autres proches, trop tot separes, alors quoi faire ?
Reagir puis se resigner, loin de son frere sans nouvelles
Partir pour partir ou, retourner au foyer ? Non pense-t-elle
J'aurais pu mourir de chagrin, mais je pleure d'assurance
Plein de pitie on trouvera bien dans mon malheur de la chance
C'est complexe, maintenant lui le sait
Plie dans son lit, la couverture trop fine, bourre de consignes
Couche sur son epaule, tatouee de fer de ceinture
Sur qu'avant 18 ans, il s'enfuira comme il le jure
Sans un adieu, courant libre comme un enfant un dimanche
Heureux, mais qui a trop vecu pour parler de chance
Refrain
Comme les mots de mes fins de phrases en precedent d'autres
Les situations s'enchainent les unes apres les autres
Les joies, les peines, amenent du bien ou menent au fond
Chance, malchance, qui sait au fond ?
Il ne pensait qu'a la revoir, comme elle avait grandie
Il la retrouve allongee 8 ans apres, si affaiblie
"Chez moi, j'avais ce qu'il fallait, faux parents, argent
Dehors j'ai mal frequente, drogue dure j'ai echoue"
Je m'en fous de tout ca, je te sors de la, je veux plus de ton absence
Les medecins diront : "cette fois beaucoup de chance"
Tout ca, c'est fini, elle vit chez lui sans luxe dans son amour
Sa soeur c'est ses yeux, sa fiancee n'est pas pour
Ses problemes de couple, il n'y prete guere attention
Elle veut partir ? Il a connu pire separation
Il ne la retient presque pas, regrette quand il y pense
N'aurait-elle pas pu me laisser ne serait ce qu'une chance
Sa soeur le console, l'accumulation le rend depressif
Mal dans sa peau, trop souvent impulsif
C'est a son tour de lui venir en aide, ce qu'elle fait
Elle seule peut savoir, peut comprendre, sans besoin de parler
Si ca va mieux, c'est qu'elle a du donner de sa presence
Les rebondissement l'empecheront de parler de chance
Aujourd'hui, rien n'a change, demain tout peut changer
Ils sont maries, elle a des enfants, lui ne sait pas encore
Quand ils se voient chaque dimanche et que les enfants s'amusent
Le grand parc semble vouloir faire des excuses
En silence ils pensent, des joies aux peines, d'en haut au fond
Chance malchance, qui sait au fond ?
Refrain
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