Tekster: Sir Pathétik. 10ième Round. Depuis Hier.

On m'appel Ray pis j'vis dans la rue pour la societe ben j'existe plus , l'histoire de ma vie est triste a raconter, dans mon cas l'amour est v'nue m'evincer, chu partis par choix me sauves dmer problemes , bientot 22ans que j'fuis cer meme problemes, j'aime la vie j'ai pas envie d'mourir , un jour jsuis partis pour ne plus jamais revenir, jsuis comme un arbres oublier dans l'paysage, un grand voyaeur la tristesse dans mes bagages, j'va rien gagner mais j'va pu rien perdre, j'me dis que j'peux pas etre plus dans la merde, comme un chard d'assault mais non fonctionnel , j'fais un adultes de moi la vie m'est si cruel , l'alcool c'est devenu ma meilleure amie aec elle j'oublie la durete d'ma vie.
Depuis hier j'couche dehors
( j'couche dehors ), sa fell pas fort y fais froid encore
( y fait froid encore ) jaurais besoin d'un gros criss de petard ( combattre le gel par le gel ) mes pieds sont dans un bizzare de decor
lalalala lalalala lalalalala.
comme j'ha?s ler problemes l'amour ma rendu la, pu personne machalle parceque j'achalle pas , j'vis l'instant present, bientot 52ans , survivre pour moi ben cer queter les gens , une journee a la fois fyslecsique d'la vie , ya juste en prison qui save chu qui, j'passe les voir l'hiver cer plus chaud en d'dans, j'promet jamais rien et jsuis perdu dans l'temps , chu censer etre mort epuiser d'survive courage dans le nofrage serais le titre de mon livre, j'reste ici peur d'reprendre la porte en restant dans rue j'la manquerai pu ma shot , j'essaye de fonctionnner , dedain d'la societe, jme cherche une beer a caller surtout pour oublies , le regard des gens parfois me tue, je m'appel Ray et j'vis dans la rue.
Depuis hier j'couche dehors
( j'couche dehors ), sa fell pas fort y fais froid encore
( y fait froid encore ) jaurais besoin d'un gros criss de petard ( combattre le gel par le gel ) mes pieds sont dans un bizzare de decor
lalalala lalalala lalalalala.
Un feu dans une vieille poubelle quelque part dans une ruelle , il se rechauffe le corps et l'ame , des allumettes pour garder la flame , il marche du matin au soir , jamais la meme maudite histoire , il veut s'enivrer d'la vie se souler l'ame dans ces amertumes , c'est la ruee vers nul part, c'est devenu la coutume son costume , devant la foulle qui le refoulle d'vant ceux qui l'ignore l'ignorant sans lui avoir demander simplement Ray raconte-moe
raconte-toe
Depuis hier j'couche dehors
( j'couche dehors ), sa fell pas fort y fais froid encore
( y fait froid encore ) jaurais besoin d'un gros criss de petard ( combattre le gel par le gel ) mes pieds sont dans un bizzare de decor
lalalala lalalala lalalalala.

(Merci a Sarah Emery-Bellerose pour cettes paroles)