'eloignes, Plus loin qu'un jet de sarbacane, J'ai presque plus ma tete a moi, Depuis toi. Alors te voila bout de femme, Comme soufflee d'une sarbacane
Oversættelse: Francis Cabrel. Pusterør.
eloignes, Plus loin qu'un jet de sarbacane, J'ai presque plus ma tete a moi, Depuis toi. Alors te voila bout de femme, Comme soufflee d'une sarbacane
: Elle te fera changer la course des nuages, Balayer tes projets, vieillir bien avant l'age, Tu la perdras cent fois dans les vapeurs des ports, C'est
: Tu voudrais qu'elle t'aime T'as change tes manieres, Tu prends des allures mondaines, Tu racontes seulement Tes voyages en premiere, en premiere. Tu
: J'aimerais que le temps s'accelere, Qu'il efface toutes nos scenes de guerre, Et que cette histoire recommence. Y'a bien des nageurs qui reviennent
: Elle etait deja la bien avant Que les camions ne viennent, Elle tournait comme une enfant, Une poupee derriere la scene. C'etait facile de lui parler
: Tout le monde y pense, Les hommes, les anges, les vautours, Y'a plus de distances, Personne qu'y ait les bras trop courts, Tout le monde espere, Meme
: J'ai du dormir debout, Pas un mot, pas un geste, L'homme qui pouvait sauver l'amour Est parti sans laisser d'adresse. Quelque part au ciel, J'attends
: Pleure pas petite sirene, La ville dort encore, Ton histoire commence a peine. Pleure pas petite sirene, Le jour attend dehors, Dans les brumes des
: Des milliers d'hommes d'affaires Le nez dans le journal Rien d'autre a faire J'ai pas de costume sombre J'ai pas de conversation Et puis, j'ai peur
: Pour elle le pas des ballerines, Pour moi le vol noir des corbeaux. Pour elle le turquoise des piscines, Pour moi la rouille des barreaux. J'ai donne