Tous les c?urs se rallient a sa blanche cornette, Si le chretien succombe a son charme insidieux, Le paien le plus sur, l'athe' le plus honnete Se laisseraient
Un champ de ble prenait racine Sous la coiffe de Becassine, Ceux qui cherchaient la toison d'or Ailleurs avaient bigrement tort. Tous les seigneurs du
Notre voisin l'ancetre etait un fier galant Qui n'emmerdait personne avec sa barbe blanche, Et quand le bruit courut qu' ses jours etaient comptes, On
Cette rose avait glisse de La gerbe qu'un heros gateux Portait au monument aux Morts. Comme tous les gens levaient leurs Yeux pour voir hisser les couleurs
O vie heureuse des bourgeois Qu'avril bourgeonne Ou que decembre gele, Ils sont fiers et contents Ce pigeon est aime, Trois jours par sa pigeonne Ca
Misogynie a part, le sage avait raison Il y a les emmerdant's, on en trouve a foison En foule elles se pressent Il y a les emmerdeus's, un peu plus raffinees
Voila les feuilles sans seve qui tombent sur le gazon voila le vent qui s'eleve et gemit dans le vallon voila l'errante hirondelle qui rase du bout de
Sans ses cheveux qui volent J'aurais, dorenavant, Des difficultes folles A voir d'ou vient le vent. Tout est bon chez elle, y a rien jeter, Sur l'ile
Sale petit bonhomme, il ne portait plus d'ailes, Plus de bandeau sur l'?il et d'un huissier modele, Arborait les sombres habits Des qu'il avait connu